Description

La Mandarine Napoléon a été mise en bouteille pour la première fois en 1892, mais avait déjà été produite auparavant. On dit qu’il s’agit d’une des boissons préférées de Napoléon Bonaparte. En fait, c’est le physicien de Napoléon, Antoine-Francois de Fourcroy, qui eut initialement l’idée de faire macérer des mandarines dans de l’eau-de-vie et de mélanger cette préparation avec du cognac. Et l’on rapporte effectivement qu’ils auraient souvent apprécié un verre ensemble. Dans le courant du 19ème siècle, un chimiste belge, Louis Schmidt, découvre la recette de la boisson dans le journal de Fourcroy, et il décide de créer une liqueur à partir de cette recette. Les mandarines, en provenance de Chine, ont été introduites en Europe au 18ème siècle et elles poussent particulièrement bien en Corse, le lieu de naissance de Napoléon. De nos jours, la Mandarine Napoléon demeure un véritable conquérant. Cette célèbre liqueur à la saveur incontestée a remporté de nombreux prix internationaux et se vend dans 137 pays à travers le monde. Elle se déguste avec un plaisir similaire à celui qu’éprouvait Napoléon il y a 200 ans. En Septembre 2009, De Kuyper a racheté Mandarine Napoléon des établissements Fourcroy. La Mandarine Napoléon est un mélange exquis et équilibré de mandarines et de cognac raffiné de 10 ans. Datant du début des années 1800, et ses racines issues des mains de Napoléon Bonaparte, l’histoire de la liqueur est aussi riche que sa saveur distincte. La boisson fut élaborée pour Napoléon, après la rencontre de l’empereur avec le chimiste Antoine-François de Fourcroy, réputé pour son extraordinaire talent de distillation. Des années plus tard, à la fin du 19ème siècle, un chimiste belge, Louis Schmidt, découvre la recette de la boisson préférée de Napoléon Bonaparte dans le journal de Fourcroy et décide de créer une liqueur basée sur cette recette. Il a commencé à commercialiser la recette à Bruxelles peu de temps après. A partir de là, la recette a été gardée secrètement de génération en génération. Il y a d’innombrables manières de mélanger Mandarine Napoléon dans des cocktails. Notre préféré est la Margarita Napoléon.

Informations complémentaires

Poids 1 kg

Mandarine Napoleon

Liqueur Mandarine Napoleon 38% 70cl
Une liqueur est une boisson spiritueuse contenant au moins 100g de sucre par litre résultant de l’aromatisation d’une base alcoolique à l’aide de fruits, de plantes ou de produits laitiers par différents procédés dont la macération ou l’infusion. L’alcool agit comme un solvant et capte le goût, la couleur et le parfum des produits agricoles. On considère que les premières liqueurs datent du Moyen Âge, de la vogue de l’hypocras et du garhiofilatum. Arnaud de Villeneuve, recteur de la Faculté de Médecine de Montpellier, concocta toute une série de vins herbés et médicinaux: vin cordial, à base de bourrache, mélisse et épices, vin aux coings, selon la recette de Dioscoride, vin romariné, dont «les propriétés sont admirables», vin sauvage, à base de chou rouge et d’ortie pour soigner les plaies, vin d’extintion d’or dans lequel une feuille d’or est plongée quarante fois, vin râpeux, dans le moût duquel a été plongé du raifort et qui se prend en apéritif, vin d’euphraise, pour les yeux, vin de campanule, vin de sauge, vin hysopique, vin de fenouil, vin anisé, vin au chiendent, vin dyamon, valant pour la reproduction, vin de chardon et vin de girofle. Il popularisa aussi la distillation de l’alcool grâce à l’alambic, ce qui permit l’élaboration des vraies liqueurs actuelles. Elles sont nées conjointement en France, dans les monastères, et chez les jésuites de Vérone. Leur liqueur fut importée par Catherine de Médicis. Dès lors, tout un chacun se mit à leur rechercher des vertus curatives et digestives à l’exemple du docteur Brouault, qui, en 1636, mit sur le marché des liqueurs à base de plantes aromatiques macérées dans l’alcool. Ce disciple d’Arnaud de Villeneuve fit des émules, puisque sous Louis XIV, son apothicaire Fagon, rendit populaire à la Cour la Popula et le Rossolis, tandis que le roi de Lorraine digérait grâce au Vespretto. Ces liqueurs étaient obtenues par macération dans l’eau-de-vie et de l’eau de camomille sucrée, de plantes et d’épices dont on voulait extraire les principes essentiels comme l’anis, le fenouil, l’aneth, la coriandre et le carvi. La grande vogue des liqueurs monastiques. En 1705 Barthélemy Rocher rejoint son oncle chanoine à la côte Saint-André. Celui-ci l’initie à la distillation et le jeune homme prend le parti d’ajouter des fruits et du sucre dans ces eaux-de-vie. C’est la naissance du Cherry Brandy qui sera référencé à la cour de France par le dauphin sous la marque Cherry Rocher. L’année 1775 marque un tournant dans leur élaboration. Tout d’abord leur nombre devient tel que leur fabrication est codifiée par Demachy. Elles se réclament toutes d’une origine monastique comme la Chartreuse ou la Bénédictine. Viennent ensuite, l’Eau de mélisse des Carmes, la Trappistine, la Vieille Cure, et la Sénancole, une liqueur élaborée par les cisterciens de l’abbaye de Sénanque. Ces liqueurs sont considérées soit comme des élixirs de longue vie, soit comme des potions cordiales, excellentes pour tous les cœurs. Ce qui donnera, à terme, le cordial. Des voyages aux îles (la route des Indes), on rapporte des fruits exotiques qui vont permettre de découvrir de nouvelles saveurs. C’est une attraction et le grand succès des liqueurs s’amplifie à partir du moment où elles passent de la «situation subalterne de médicaments d’apothicaire» à celle plus prestigieuse d’alcools de châteaux. Il existe aujourd’hui quatre grandes variétés de liqueurs : à base de plantes (verveine, tilleul, menthe, violette, jasmin, rose), ce sont les liqueurs monastiques ; à base de fruits, de baies et de noyaux (orange, cerise, banane, fraise, abricot, groseille, cassis, genièvre, airelle), elles sont soit d’origine monastique ou paysanne ; à base de graines (café, cumin, anis, girofle, coriandre) ou à base d’écorces et racines (orange, citron, mandarine, gentiane), ces deux dernières étant d’origine industrielles. Différents procédés sont utilisés, comme la macération et l’infusion de fruits ou de plantes ajoutés à de l’eau-de-vie blanche ou non. Les liqueurs, dont le degré alcoométrique est de 15 à 55°, entrent dans la composition de nombreux cocktails et se consomment aussi habituellement comme digestifs à la fin des repas. Les liqueurs font partie des spiritueux.
Les liqueurs ayant un taux de sucre plus élevé (au moins de 250g/L) sont appelées «crèmes». La crème de cassis doit avoir obligatoirement une teneur en sucre de 40 g/L minimum.

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